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Billetterie en ligne

vendredi 20 mars : Centre culturel communal Charlie Chaplin : BLUES

MATHIS HAUG, duo

20h30

MATHIS HAUG, duo

Le chanteur et guitariste Mathis Haug publiait en 2013 Distance, son deuxième album, produit par J-J. Milteau. En simple duo avec son alter ego Stephan Notari (batteur multi instrumentiste), Mathis Haug incarne un creuset d’influences glanées sur la route du blues rock, de son Allemagne natale à son Amérique fantasmatique. L’ex Mathis and the Mathematiks (avec Seamus Taylor, en 2003) découvre en chemin le blues âpre des 30’s, le musette et le swing. On l’a vu aux côtés d’Emily Loizeau, Ilene Barnes, Bazbaz, Terry Callier, Moriarty, Paul Personne ou Anis. Comment ne pas succomber aujourd’hui à ce Mathis authentique au croisement de Son House et Herman Brood.

  • Mathis Haug: guitare, voix
  • Stefan Notari: batterie, guitare, voix

CANDYE KANE

21h45

CANDYE KANE

Assise sur un passé de baroudeuse sexy et extravertie, Miss Candye Kane incarne un rôle de super héro du “dépassement de soi” (son album Superhero, en 2009). Evoquer le blues avec Candye Kane, c’est aussi convoquer quelques vieux démons : « Je fais du blues depuis 1992. C’est toute ma vie, et ma vie a été turbulente ! ». En découvrant Big Maybelle, Big Mama Thornton ou Etta James, la jeune native des faubourgs de Ventura (Californie, en 1965) a trouvé sa place. Sur son dernier album en date, Sister Vagabond (2011), la voix de Candye tempête sur du swing 40’s ou du rhythm’n’blues 50’s, puis s’alanguit sur un lit d’influences country, le tout gratiné de messages positifs sur la place des femmes.

  • Candye Kane: voix
  • Laura Chavez: guitare
  • Kurt Kalker: batterie
  • Bobby Abarca: basse

LIL’ ED & THE BLUES IMPERIALS

23h00

LIL’ ED & THE BLUES IMPERIALS

« A bazooka assault of footstompin’ blues and slow-burnin’ knee-bucklers ! » Chicago Sun-Times Pilier du label Alligator depuis bientôt trois décennies, “Lil' ” (Little) Ed Williams est un bluesman à part, notamment en raison de prestations scéniques cataclysmiques, véritables Pandémoniums du boogie. Héritier du style rêche de Hound Dog Taylor, Elmore James et surtout J-B. Hutto (son oncle), noyant un peu l’énergie nucléaire de ses débuts dans une bonne humeur aussi contagieuse qu’un filovirus, notre sexagénaire et son bibi chéchia envoient toujours le bois. Porté par The Blues Imperials, ces gâchettes de l’Illinois avec lequel le lutin (1,60 sous la toise) partage la scène, Ed Williams a longtemps figuré un blues en survoltage. Son jeu de slide brutal dévale la tradition du West Side Chicago pied au plancher.

  • Lil’ Ed Williams: guitare, voix
  • Mike Garrett: guitare
  • James “Pookie” Young: basse
  • Kelly Littleton: batterie